Meyer MALKA rabbin français

Le rabbin Meyer Malka souhaite contribuer à la construction
de la communauté juive française.
Içi, vous trouverez son projet, ses intentions et sa vision du monde juif français actuel.

Les vidéos présentent sur ce site internet ont été enregistrées sans préparation.
Ce sont des questions qui ont été posées par des juifs lors du voyage du rabbin Meyer Malka dans les communes de toute la France afin de mieux appréhender les volontés de chacun.

C'est surement d'ailleurs le meilleur atout de ce rabbin atypique :

Être natuel en toute circonstance, dire ce que l'on pense, savoir reconnaitre un tort lorsqu'il existe...
Ainsi, lors de ses voyagesà travers les villes de France, il a recemment consacré plusieurs journées à écouter et à répondre aux questions qui lui avaient été posées.
Cette même démarche a également été établie via internet, nous avons séléctionné certains enregistrements, car certaines vidéos contenaient des données sensibles ou à caractère privé.

Vous pouvez poster vos questions en vidéos sur Youtube ou Facebook, et nous nous efforcerons de répondre au plus vite.

Dans les lignes qui suivent, voici la profession de Foi officielle du
Rabbin Meyer MALKA :

Je me présente devant vous, sachant la hauteur de la fonction, animé par une seule et même énergie : mon Amour de Dieu, de la communauté juive de France et d’Israël.

Il s'agit pour moi d'une force qui a guidé toute ma vie, tous mes engagements ; Cette force étant le vecteur le plus puissant de mon action dans la vie religieuse et la vie profane.

C'est sous le soleil radieux et le ciel bleu cru du Maroc, que je vis le jour en 1952 ; Comme tous les enfants de mon âge je vais suivre une scolarité normale jusqu'en 1968, année du départ en Israël et l'obtention en 1969 du Baccalauréat.

De 1970 à 1976 j'effectue mes obligations militaires dans l'armée de l'air. Mon rôle dans Tsahal est actif, avec une spécialité de mécanicien mais aussi une activité de combattant qui me vaut d'être décoré lors de la guerre de Kippour, alors que je suis sous-officier supérieur.

Ainsi s’achève mon service militaire de 6 ans, cette même année, je suis de retour en France
Depuis toujours, je porte au fond de mon cœur et de mon âme cet amour de la France que je veux servir et que j’admire : Ma mère (z’l) institutrice à Meknès, à travers ses leçons m’a transmis son attachement à l’éducation et à la culture française.

- De 1976 à 1983. Je suis alors la formation de l'Ecole Rabbinique de France.
- L'année 1983 est couronnée par les diplômes de rabbin, de licence d'Hébreu à l'Université de Censier Paris
Sorbonne 3, et de directeur de colonie de vacances.
- En 1984, je suis en poste à Caen, en 1986, membre actif et animateur des Amitiés Judéo-Chrétienne.
- En 1991, j’organise un voyage à Auschwitz avec cette simple devise : « pire que la mort il y a l'oubli ».
- En 1992, Je deviens ensuite Rabbin dans la cité parisienne, en poste à Clichy. C’est pour moi alors un véritable défi : il y a tout à créer ! Les fidèles prient alors dans une salle à la limite de l’insalubrité.

Cette même année, sous l’impulsion du président et du maire avec lequel j’entretiens jusqu’à présent des liens d’amitié, et avec l’aide du consistoire, une grande et belle synagogue sera inaugurée et trônera au 26 de la rue Mozart.

- En 1993, me sera présenté le monde des conversions au sein du consistoire et j’y suis tellement dévoué qu’en 2000, je serai nommé directeur du service des conversions.

J’aurai à ce titre, l’opportunité de travailler avec le Dayane Rav Nissim Rebibo ZaL à travers toute la France, et même l’Europe.

Parallèlement à cela, vu mon passé militaire, je m’engage naturellement dans l’aumônerie des armées, danslaquelle j’occupe à présent le poste de directeur de l’Aumônerie Générale Israélite de la Marine.

- En 2011 on me nomme secrétaire générale du Tribunal Rabbinique.

J’ai l’honneur d’y siéger avec d’éminents spécialistes tels que le Grand rabbin Goldmann, avec lequel nous nous efforçons d’arbitrer et de venir en aide aux personnes rencontrant des litiges et souhaitant y faire face dans le cadre de la halakha et dans l’intimité de la communauté.

Si je vous expose si longuement mon histoire et ma culture, c’est parce que je suis convaincu que l’Homme fait la fonction et non l’inverse, et l’homme qui se présente à ce poste a depuis longtemps fait fusionné ses intérêts avec ceux de la communauté.

En effet je ne suis animé d’aucunes ambitions exceptées celles de servir, d'agir et de réunir autour de moi les meilleures volontés : Il n’est pas anodin que dix rabbins se présentent à cette élection, alors pourquoi faudrait- il ne garder qu’une seule dynamique ?